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[°}...{°] Citad'elle'B {°]...[°}

25 août 2007

L'incompréhention du Non.

Je suis une personne compréhensive au plus haut point

Au point même d’en devenir  quelqu’un qui n’as pas de conscience pour les autres

Tu es ainsi ? Je l’accepte.

Je n’ai aucunes limites de compréhension.

Pardon, j’ai parlé trop vite

Je n’ai aucunes limites de compréhension. Sauf pour les négatifs perpétuels.

Ca je ne peux pas.

C’est comme deux aimants qui se repoussent.

Impossible de me mélanger à cette race de perdants chroniques.

De défaitistes grisâtres.

Je suis une personne qui n’a pas de limites réelles.

Je n’ai jamais encore rencontré de chose qui me fasse m’arrêter. Et pleurer sur mon sort.

Je pleure beaucoup. Pour tout avouer j’adore ça.

Mais ce que j’aime encore plus c’est pleurer en marchant, en avançant dans ma vie, dans mon parcourt, dans mon chemin.

J’aime plus que tout avancer.

Pour donner une images de ce qu’on est tous, une fois mélangés :

Un chemin, ceux qui marchent, et ceux qui sont assis dans les caniveaux.

Je déteste ceux là.

Ceux qui ont rendu les armes. Qui ont arrêté de réfléchir à la solution qui pourrait les sauver.

Ca fait 20 ans que je réfléchis moi.

Je n’ai toujours pas la solution, mais j’ai étalé pas mal de théorie plus ou moins bonnes, qui mont permis de voir encore plus loin que ce que voyais jusqu’à présent.

ELLE, elle a baissé les armes. C’est dommage qu’elle ai fait ça peut de temps après qu’on se soit rerencontrer.

Ca aurait pu durer.

Mais là, vraiment, de la voir si profondément basse, ça m’a ôté toute envie du cœur.

Bien sur au début, je lui ai tendu la main, j’ai voulut lui faire partager mon savoir et mes conviction de la vie.

J’ai voulut l’éclairer un peu, c’est ce qu’on fait pour les personnes qu’on aime et qu’on veut aider à revenir dans le chemin non ?

Je lui ai dis ce que je ferai pour me sauver moi.

Elle a ris, elle a crié, elle m’a craché au visage.

Elle m’a fait comprendre que tous n’étaient pas comme moi, tous n’ont pas ma force, elle comprise.

Alors j’ai dis oui. Oui au fait que je ne voulais plus d’elle.

Je n’aime pas que les gens qui pense comme moi, au contraire, je me nourris des avis différents pour grandir et exister, mais entre penser différemment et être un vrai boulet de vie morne et triste, y’a une sacré différence.

Et je ne veux pas de sa tristesse, j’ai bien trop peur qu’elle déteigne sur moi.

Et je tiens bien trop à ma lumière pour prendre un tel risque.

Je suis égoïste, mais comme elle l’a souvent dis, les gens sont égoïstes.

Et malgré tout ce que j’ai pu dire et entendre, je fais partit des gens.

Comme elle.

Comme vous.

Au revoir glaçon noir.

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9 août 2007

Conne Fantasme

Je ne comprends pas.

Il y’a toujours eu beaucoup de choses qui m’ont échappées, mais là…

Je ne comprends vraiment pas.

Comment est ce possible, qu’un homme marié soit attiré par une toute jeune fille de 20 ans…

Quel est l’atome sentimental, ou sexuel (comme vous voudrez) qui rend possible une telle chose ?

Je m’imagine l’homme mur. Je me mets à sa place. Et même si je comprends bien qu’un homme ressente l’envie d’aller voir ailleurs […]

Pourquoi le fait t’il avec une si jeune personne.

Pourquoi avec une gamine.

Pourquoi avec moi.

Je ne sais pas s’il faut que j’avance ou s’il faut que je recule face à lui qui court …

Je me sens déjà coupable…

Pourtant je ne suis pas mariée moi…

Je n’ai fait de promesse à personne, mis à par moi-même…

J’ai une envie folle de lui dire oui à tout ce qu’il peut dire

Et pourtant je me retiens, Dieu seul sais encore comment…

La maturité peut être.

Le respect de moi-même surement.

Et le respect des autres c’est sur, même si je ne les (la) connais pas.

A contrario, lui, ne se prive de rien, ni de me faire des sous entendus certains, ni des regards de cockers, d’homme trépassant…

J’ai toujours peur de dire une chose qui pourrait passer pour une validation de ses avances.

En fait je n’ai plus de raison d’avoir peur de valider quoi que ce soit…

Effectivement, quand on se retient, on fini par lâcher prise à un moment ou à un autre :

Peut être que le jour ou j’ai accepté son invitation «  Je te ramène à moto si t’as un casque »

N’était pas sans une connaissance totale de ce que ça pouvait entrainer.

J’ai essayé de rattraper le glissement de terrain comme j’ai pu, en lui disant que je n’avais pas de casque. Simplement.

Et là, patatras, je dégringole encore un peu plus en lui demandant si lui n’en a pas deux…

A quoi il répond par un regard mis excité mis affolé, dans le genre :

« Si j’en ai un autre mais ma femme me poserait des questions si elle me voyait partir le matin avec deux casques moi qui ne peut piffrer personne au boulot ou presque… »

Sa réponse verbale fût :

« On en reparlera »

Et c’est  en rentrant chez moi, soit 2h00 après que je me suis dis, que vraiment, fallait que j’arrête de marcher dans son jeux, si séduisant soit t’il - Son jeu.

Malheureusement, si moi, j’ai arrêté dés le lendemain d’aller dans son bureau pour des raisons bidon (y’a plus la clim dans mon bureau-Oh ! Homme tu as encore oublié ta feuille sur mon bureau…)

Mais l'Homme n’a pas mit fin à ses visites nombreuse et tout aussi bidon.

Et je dois l’avouer.Ca me fait bien trop plaisir de le voir venir de loin, une raison incroyable à laquelle il avait réfléchit pendant 1h00, dans la tête, pour ne pas dévoiler la véritable raison de sa visite…

C’est un jeu de chat et de souris.

Incroyable, parce que dans le cadre du travail.

Surréaliste, parce que trente six ans.

Mauvaise, parce que marié.

Infantile, parce qu’au bout du compte, deux gamins…

Hier l'Homme est venu pour son « au revoir du soir ».

Il m’a dis qu’il fallait que je vienne à la même heure que lui aujourd’hui, parce qu’on allait finir plus tôt que d’habitude.

Je lui ai dis que je ne savais pas ce que je comptais faire, moi les horaires de taf, je m’en fou un peu…

Il insiste, et fini par avouer que s’il me dit ça :

« C’est pour savoir si ça vaut la peine que je me casse le bras avec un deuxième casque, si au final, tu pars plus tard que moi… »

A oui,retour d’elastique on appele ça.

Boulette assumée, on continu.

J’ai hésité. J’avoue.

Et puis…

« Non, oublis, entre le taf et tout je vais finir tard… »

« T’es sure ? »

« Oui, et puis…-Long regard intense en sous entendus- C’est trop risqué…N’est ce pas… »

Fière de ma force intérieure.

Scène suivante.

Il ne me lâche pas.

Ca me plait.

Je sais que je vais craquer, même si ce n’est qu’un peu.

Ca va arriver.

Mais en même temps, ce statut de fantasme que je lui ai cédé, je ne veux pas qu’il s’arrête.
Et tout le monde sais qu’un fantasme réalisé n’en ai plus un.

Je pense souvent en ce moment que mon père à l’époque nouvellement papa est parti avec une autre…

Pour revenir la queue entre les jambes si je puis dire.

Je n’avais même pas 1 an.

Ca me fait réfléchir un peu.

Et puis après je me dis, que si c’est un bon rapprochement il n’en est pas moins faux. Homme étant papa de deux garçons qui n’ont aucun rapport avec sa femme actuelle.

Et mon père n’ayant aucun rapport avec un adultère à peine majeur.

Non vraiment, je n’ai aucune raison de culpabiliser pour cette femme.

Honte à moi.

Ou pas.

On verra dans quel état on se récupérera après les vacances…

3 semaines. Son sourire et sa prestance me manque déjà.

Conne fantasme.

Bonnes vacances.

3 août 2007

Envolée Lyrique. Une personne qui m’est chère

Envolée Lyrique.

Une personne qui m’est chère patauge dans le vide mouvant du coeur, et des envies d’amour et de sentiments.

Cliché.

Mais si vrai.

Tellement d’actualité…

Après l’avoir lu, j’ai eu envie de lui répondre.

J’ai commencé par lui écrire un commentaire, qui s’est fini par être plus un post qu’autre chose, et de fil en mots, j’ai fait ce blog.

Qui ne servira pas souvent, mais qui sera là pour avaler sans relâche mes mots, mes phrases et autre choses qui font que j’aime écrire.

Voici le post à ralonge en question.

Vous pouvez lire le texte responsable de cet échappée de mot sur http://www.glacOn.canablog.com

""Des fois je me dis qu’on n’a pas été élevées dans le bon objectif de vie future.

Je m'explique.

Parfois je me dis que nos mères et grands mères, à leurs époques et aujourd'hui encore, on évoluées dans la mentalité, un homme, une vie.

Hors, on sait toutes aujourd'hui, qu'une vie se vit avec plusieurs hommes, plusieurs amours, plusieurs facettes, plusieurs problèmes, plusieurs bonheurs.

Tous différents, tous évoluant avec l'âge.

Hors, nos aïeules, elles, nous on élevé dans l'objectif de trouver, un mari, une maison, une scénic, une vie déjà testée par elles, et qui malgré ses déboires, a fait ses preuves, sans pour autant, être, aujourd'hui, au gout du jour...

Vous comprenez?

On avance dans notre monde à nous, avec des idées datant d'il y a plus de 60 ans !

Ca peut pas coller, c'est sur qu'on est déçus, qu'on attend autre chose...

Réfléchissez deux minutes.

Dans les films d'époques, dans les histoires d'avant, il n'y a pas autant de scènes de larmes et de dépressions que dans Bridget Jones, ou autre film sentimental…

(Même si à la fin, tout fini toujours bien grâce au Syndrome ménagère-)

C'est normal, car à cette époque, tout était beaucoup plus simple, on ne poussait pas les réflexions existentielles aussi loin qu'aujourd'hui.

On se contentait de peu dans une relation.

Aujourd'hui, le monde est exigeant.

Suite à ça, les relations le sont aussi

Et même si on veut quelque chose de simple, c’est compliqué.

Peut être faut t'il accepter de ne plus vivre dans le passer.

Dans les châteaux de princesses, cheval blanc et prince charmant…

C'est dur de quitter ce nid douillet, mais la vie dure et vraie est une telle aventure...Si tentante.

Et d'accepter que le présent se délecte d'une débauche de corps durant plusieurs années avant de faire une pause scénic, sans oublier les débauches devenues passées ce n’est pas du luxe, mais ça soulage...

Le sexe amoureux mais dépravé à toujours été présent. Mais il se cachait...

A l'époque on n'en soufrait pas moins, mais on  n'en parlait pas, on était moins volcaniques, on le gardait pour soit...Ca n'a pas empêché des milliers de femmes de se marier, en aillant conscience des risques et des futures blessures à venir.

Elle n'avaient pas peur de vivre, elle n'avait pas peur de l'inconnu.

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